Sąmokslo priežastys ir malonės prasmė (pagal Kornelio, Grilijaus, Metastazijaus, Bairono ir Hugo kūrinius)
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Gvidonas Bartkus
Publikuota 1969-10-01
https://doi.org/10.15388/Literatura.1969.11.3.43284
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Bartkus, G. (1969) “Sąmokslo priežastys ir malonės prasmė (pagal Kornelio, Grilijaus, Metastazijaus, Bairono ir Hugo kūrinius)”, Literatūra, 11(3), pp. 27–46. doi:10.15388/Literatura.1969.11.3.43284.

Santrauka

Dans la tragédie de Corneille „Cinna" les causes de la conjuration sont fondées sur les théories politiques d’État qui étaient connues à l’époque de l’absolutisme. En même temps la clémence d’Auguste porte aussi l’empreinte de ces théories. L’auteur a montré les rapports entre l’État et les citoyens à l’égard de l’autorité absolue du bien public.

Ce qui concerne les autres pièces, on voit que les auteurs des époques et des pays différents s’intéressaient moins de la politique que Corneille. Gryphius, dans sa pièce „Leo Armenius", met en relief le sens religieux qui fait à l’empereur remettre à quelques jours l’arrêt de mort des conjurés. Chez Metastasio les causes de la conjuration sont plutôt psychologiques que politiques, et le pardon de Tite est motivé par des raisons d’ordre moral („La clemenza di Tito"). L’empereur Sardanapale, épicurien, envoie les conjurés en paix pour que son rêve soit tranquille (Byron, „Sardanapalus"). Chez V. Hugo le complot et le pardon ont un sens symbolique („Hernani").

On peut conclure que dans „Cinna" Corneille expose les doctrines de son siècle sous plus d’aspects politiques que ne le font les autres écrivains, mentionnés plus haut. Il s’agit aussi de ce que dans la pièce de Corneille apparaît parfaitement sa méthode rationaliste de généralisation, voilà pourquoi la tragédie „Cinna" peut être considérée comme une des plus importantes pièces de l’écrivain français.

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